Mais quand reverrai-je...
Les héroïnes et les héros sont partis, les monstres et les dieux aussi, tout est calme sur la Maison. Ne reste que la nostalgie des jeux et des rires des enfants à travers les sapins. Et puis une mélodie qui fait :
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme celui-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de la colo du Beau
Fumer la cheminée, et en quelle saison … ?